Découvrez l'art sous un nouveau jour – Conférences gratuites !
Plongez au cœur de l’histoire de l’art à travers des conférences captivantes et accessibles à tous. Que vous soyez passionné, curieux ou simplement en quête d’inspiration, ces rencontres gratuites vous offriront un voyage fascinant à travers les chefs-d’œuvre, les artistes et les mouvements qui ont façonné notre culture.
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Social Club, Shopping Promenade Riviera, de 19h00 à 20h00.
Le Social Club se trouve au rez-de-chaussée du "Guetteur" de Sosno.
Christelle Rouillé
Dans les années 1950, alors qu’il est perçu en France comme un "vieux sénile" qui peint des odalisques dans des intérieurs bariolés d’ornements, Matisse s’exporte au États-Unis et pique la curiosité des artistes new-yorkais. D’un côté, les expressionnistes abstraits – Rothko et Pollock – l’admirent pour son utilisation de la couleur et des motifs décoratifs, de l’autre, les peintres du Pop Art – Lichtenstein et Wesselmann – s’emparent des thèmes fétiches du français, la nature morte et le nu féminin. De l’émotion pure à l’art populaire, Matisse avait déjà (presque) tout compris !
Christelle Rouillé
Artiste à la carrière prolifique et de renommée internationale, Jean-Michel Othoniel se donne depuis une vingtaine d’années pour mission de "réenchanter le monde". Profondément traversée par les questions du sacré, du mystère, de l’infini et du merveilleux, son œuvre se pare de perles de verre précieuses et délicates, aux formes courbes et aux couleurs scintillantes. Un "uni-verre" onirique dont le charme (dé)voile en réalité la fragilité de l’âme humaine.
Christelle Rouillé
L’araignée représente l’animal-totem de Louise Bourgeois. Figure symbolique, elle est un hommage gracieux à la mère disparue de l’artiste, dont le métier était de réparer des tapisseries. Depuis les années 1940 Louise Bourgeois n’a cessé d’en appeler à cette image maternelle. En tirant les fils de l’art, l’artiste tente de réparer au présent les liens brisés du passé. Bonheurs et douleurs d’une artiste, d’une femme, d’une fille et d’une mère.
Christelle Rouillé
Au début des années 1960, Niki de Saint Phalle s’affirme en tant qu’artiste-femme engagée. Marquée par une histoire familiale douloureuse, elle utilise l’art comme une arme de guérison, autant personnelle qu’universelle. Comment ? Elle éclabousse le patriarcat à coup de tirs colorés, sculpte des Nanas aux formes généreuses, libres et joyeuses et façonne des animaux prodigieux qui nous apprennent à vive ensemble.
Yves Marie Lequin
L'histoire du lieu où l'artiste produit ses œuvres, en apprend beaucoup sur les conditions et les ressorts inconnus de la création. Un parcours de découverte, d'étonnement, sur des vies données à l'art compris comme une expérience de liberté.
Yves Marie Lequin
La commune de Cagnes-sur-Mer cache un trésor : une terre d'artistes qui y ont produit parmi leurs plus belles œuvres. Certains s'y sont révélés, d'autres y ont trouvé un refuge pour leur création. Une promenade pleine de surprises et de beaux témoignages de vie partagée.
Christelle Rouillé
Dans les années 1960, dix ans après ses premiers succès, César étonne et scandalise avec de nouvelles sculptures : les "compressions". L’artiste récupère de vieilles carrosseries qu’il aplatit à l’aide de machines industrielles pour obtenir des blocs de ferraille colorés, véritables reconfigurations mécaniques. Non sans ironie, César façonne à sa manière la société de consommation.
Christelle Rouillé
Avec les Nymphéas, Monet modifie son angle de vue : il baisse les yeux vers la surface de l’étang pour se focaliser sur le seul miroir d’eau. L’horizon, les repères spatiaux, les plans disparaissent. Monet transforme le tableau en une surface sans limite, sans profondeur, sans histoire. Un peu plus tard, atteint de la cataracte, l’artiste peint avec une sensation de brouillard perpétuelle. Les détails s’estompent, deviennent flous. La matière picturale et la liberté du geste l’emportent. Ni une, ni deux, trente ans après, les peintres américains en feront le père de la peinture abstraite.
César Malfi
Avec les Nymphéas, Monet modifie son angle de vue : il baisse les yeux vers la surface de l’étang pour se focaliser sur le seul miroir d’eau. L’horizon, les repères spatiaux, les plans disparaissent. Monet transforme le tableau en une surface sans limite, sans profondeur, sans histoire. Un peu plus tard, atteint de la cataracte, l’artiste peint avec une sensation de brouillard perpétuelle. Les détails s’estompent, deviennent flous. La matière picturale et la liberté du geste l’emportent. Ni une, ni deux, trente ans après, les peintres américains en feront le père de la peinture abstraite.
Jen Miller
Elle invite le spectateur à s'interroger sur le sens caché derrière cette abstraction. Les carrés ne sont plus de simples figures
Le travail de Jen Miller sur les carrés de peinture explore des concepts profonds liés à la géométrie, la perception et l'abstraction. Dans ses œuvres, les carrés ne sont pas simplement des formes géométriques, mais des espaces chargés de significations multiples, entre rigueur structurelle et liberté expressive. Miller utilise souvent ces formes pour engager une réflexion sur la manière dont les humains perçoivent les espaces et les relations entre les objets. De l'abstraction au concret : un monde se révèle lorsqu'on prend du recul, où chaque trait se transforme en vision nouvelle.
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